Moi c'est Alexandre 24 ans en chemin spirituel et developpement personnel depuis que j'ai 19 ans.
Je viens de Belgique. Je suis enseignant (histoire/géo) à la base et suis
une formation pour être psychothérapeute en analyse transactionnelle.
Je suis passionné par la relation, la reliance. J'aime lire, écouter, contempler, papilloner et imaginer.
Je suis initié au magicien (Steve Kushner) et suis un guerrier de l'intérieur, un nouveau guerrier (Mankind Project). Je le nomme juste ici, je ne fais pas de pub.
J'ai bien lu et compris les chartes et le règlement. Je poste
systématiquement mes sources. Quand il n'y en a pas, c'est que c'est de
moi =).
Gnostique nazoréen, je cherche à ce que le divin en soi, les dieux
s'exprime(ent) à travers moi. C'est lui/eux en moi qui a besoin de rédemption ... plus que
jamais ...
Jésus que l'on appelle le Christ, l'Oint, en Occident européen et étasunien,
est né de la relation amoureuse entre Joseph et Marie de Capharnaüm,
puis a grandi avec ses parents en Egypte, où il a eu accès aux mystères
gnostiques dans son initiation, mystères hérités des empires sumériens
et akkadiens, qui les auraient sûrement hérités d'Asie.
A savoir pour l'anecdote, que Moïse pourrait n'être rien de moins que la
pharaon Akenhaton qui, ayant voulu instaurer le culte du dieu invisible
Aton, aurait été refoulé par le clergé d'alors, et qu'il serait parti
en Palestine avec une poignée des siens, fidèles à ce nouveau dieu,
fidèles à Dieu, à Aton, à Adon(aï). Dans cette perspective historique,
le judaïsme est l'atonisme d'Akhenaton, duquel Jésus dit le Christ
aurait hérité par son père, le rabbin Joseph, que la tradition a fait
symboliquement artisan.
Jésus est revenu d'Egypte et a été initié par Jean l'Essénien, dit le Baptiste en Occident européen et étasunien, puis s'est marié à Mariamnè dite Marie-Madeleine, de laquelle il a eu au moins un fils prénommé Judas, qui pourrait être le disciple bien-aimé dont parle Jean le Divin dans l'évangile canonique.
Il est peu probable que Jésus dit le Christ ait été jugé par le sanhédrin
avant le jour, car le sanhédrin ne se réunissait pas avant que le coq
n'ait chanté, même trois fois. De plus, il est très peu probable si
cela a bien eu lieu que Jésus ait été crucifié la veille de la Pâque,
car cela aurait été jugé impur par les juifs.
Dans ces conditions, soit Jésus dit le Christ a été crucifié un autre jour et la
tradition l'a placé la veille de la Pâque pour supplanter la
célébration de la sortie d'Egypte, soit Jésus n'a jamais été crucifié.
Jésus dit le Christ confia sa succession à son frère Jacques, premier évêque
de Jérusalem, dont la parole nazoréenne disait de Jésus qu'il était le
Messie mais absolument pas le fils de Dieu, hérésie parmi les hérésies.
Cela ne plut évidemment pas à Saül dit St-Paul, ami d'Hérode Antipas et
des légions romaines, qui fit assassiner Jacques pour que sa version
apostolique devienne la version impériale.
Sous la main de Saül, Jésus devint le Christ, le fils de Dieu, le Sauveur, à la manière
des mystères antiques qui célébraient la resurrection de Dionysos ou de
Mithra, le "sol invictus" dont parle Jung dans Métamorphoses de l'Âme
et de ses Symboles.
Ainsi la psychologie chrétienne fit l'apologie de la resurrection et se braqua sur la renaissance, le
renouveau, les nouvelles aurores qui n'en arrêtent plus de luire dans
leur liturgie, dans une espèce d'attente malsaine d'une transformation
qui piétine, et qui a déjà eu lieu, Mahomet l'a bien compris puisqu'il
aurait été initié par les derniers nazoréens, et c'est ainsi que le
Coran refusa à raison la divinité de Jésus, sans nier cependant qu'il
est le Messie qui reviendra à la fin des temps.
Car ce que Jésus a fait est d'une valeur infinie pour qui se laisse aller à le
comprendre, dans la mesure d'abord où sa vie est celle d'un homme qui
porta son projet à terme, qui s'individua par-devers le collectif dans
ses paraboles, paroles révélées pour ceux qui ont des oreilles. "Qu'il
entende, celui qui a des oreilles !" prêtent les évangiles à Jésus.
Jésus, le fils de l'Homme, ainsi qu'il est uniquement appelé dans les
évangiles, a été reconnu par ses plus fidèles disciples comme étant le
Messie, celui qui révélerait l'Homme aux hommes de bonne volonté et aux
coeurs simples.
C'est là la façon que j'ai de me réconcilier avec ma tradition, qui me semble perverse au point que l'addition du
nombre des lettres de chaque mot dans l'alphabet latin du "VICARUS
FILII DEI" inscrit jusqu'en 1983 sur la toge des papes fasse 666.
Sheïtan, serait cette sainte mère d'Eglise...
"Notre Père, que Ton nom soit sanctifié,
Allah est Haut !
Car oui : il faut que tu te souviennes, Israël !"
http://alchemia.canalblog.com/archives/p20-10.htmlBien à vous,
Alexandre